La cigarette électronique possède deux différents types d’atomiseurs. Il y a le type reconstructible et celui non reconstructible. Le premier permet aux adeptes de la vape de monter eux-mêmes leur résistance. Le reconstructible permet de faire des économies, surtout si vous choisissez des matériaux les moins chers. Nous exposerons dans cet article l’essentiel à savoir sur les éléments les plus fragiles d’un atomiseur reconstructible.

Le réservoir de la cigarette électronique : toutes les informations sur la fragilité de cet élément

Le réservoir ou le tank est une pièce indispensable pour une cigarette électronique. Il est installé dans le clearomiseur et a pour rôle de contenir le e-liquide. Une fois que cette pièce est brisée ou cassée, il devient impossible de vapoter. Malheureusement, cela peut se produire fréquemment, notamment lors d’un instant d’inattention ou lorsque vous rangez mal votre e-cig dans votre sac ou sur un meuble.

Effectivement, le tank est un élément spécialement fragile, car il est fait à base de matériaux peu résistants comme le verre ou le plastique ou encore le pyrex. Dans la grande majorité des cas, une fois que votre réservoir est cassé ou fissuré, vous n’avez d’autres choix que de le remplacer. Il peut arriver qu’à l’achat de votre cigarette électronique, votre fournisseur vous la livre avec un réservoir de rechange.

Si ce n’est pas le cas, il vous faudra en prendre un autre afin de pouvoir vous servir à nouveau de votre appareil. Toutefois, le coût pour se procurer cet élément reste raisonnable, mais le point moins avantageux est en lien avec le temps qu’il vous faudra attendre pour avoir le réservoir de remplacement. En effet, sa livraison peut rendre quelques heures et même quelques jours dans le pire des cas.

Quelques notions à savoir sur le fil résistif

Le fil résistif est un constituant indispensable pour monter la résistance d’un atomiseur reconstructible. En effet, il chauffe et agit sur le e-liquide présent sur la mèche de votre e-cig. Il s’en suit alors une évaporation du liquide imbibé sur la mèche, c’est ainsi que la fumée est produite. Il existe différentes variétés de fils résistifs. Vous avez, notamment, les fils résistifs en kanthal, en inox en nichrome, etc.

Ce constituant est vendu sous différentes formes. Il est enroulé comme une bobine ou est conçu prêt à l’emploi. Lorsqu’il est en inox, le fil résistif est fragile et peut s’oxyder ou se rompre plus vite que quand il est fait à base d’un autre matériel. De plus, les fils de nickel sont fragiles au montage, mais encore, ils doivent être suffisamment espacés pour un contrôle efficace de la température. Pour ce faire, ils sont considérés comme non résistifs.

Le titane, quant à lui, est le deuxième fil qui vient après le Ni200. Il est principalement utilisé en tant que contrôleur de température en association avec de la fibre imbibée. Effectivement, quand il est utilisé seul, il s’oxyde en un rien de temps.

La mèche de la cigarette électronique

La mèche est un constituant essentiel de la résistance d’une cigarette électronique. Elle est faite à base de différents matériaux et est reliée au réservoir pour favoriser la consommation par évaporation.

Effectivement, la mèche est faite à base de coton, de silica ou encore de mesh. De nombreux consommateurs préfèrent la mèche en coton en raison de la saveur qu’elle permet d’obtenir. De plus, elle est appréciée pour sa capillarité et surtout l’absence de goût parasite susceptible de rendre désagréable l’expérience pour le consommateur.

Malheureusement, les mèches en coton sont peu résistantes lorsqu’elles sont en contact avec la chaleur. En effet, une chauffe à sec suffit largement pour vous obliger à changer votre mèche. En définitive, le montage de ce constituant dans votre cigarette électronique demande de la dextérité.