Les cigarettes électroniques nouvelle génération ne tombent-elles pas plus souvent en panne ? Les anciennes cigarettes électroniques n’étaient-elles pas moins fragiles ?
Pour satisfaire des vapoteurs toujours plus exigeants, des cigarettes électroniques nouvelle génération ont pris la place des premières versions. Elles n’ont cependant pas été capables d’effacer les e-cigarettes de l’age d’or des moddeurs, car certains puristes s’y fient davantage. Une question subsiste toutefois : les nouvelles e-cigs sont-elles plus fragiles que les premières versions ? Réponses
Évolution de la cigarette électronique au fil des années
Les cigarettes électroniques ont peu à peu évolué depuis leur première apparition en 2003. Vous seriez surpris de découvrir qui est l’inventeur du fameux dispositif de sevrage tabagique.
L’apparition de la première cigarette électronique
La première cigarette électronique a été conçue par Hon Lik, un ingénieur chinois exerçant autrefois en tant que pharmacien. Ce dernier imagina un substitut à la cigarette traditionnelle afin de surmonter sa dépendance au tabac. Le brevet de la première e-cigarette fut déposé deux ans plus tard, en 2005 par l’inventeur d’origine chinoise.
À l’époque, le dispositif fonctionnait sans clearomiseur subohm, ni box luminescente. Il ne disposait également pas de résistance chauffante. Hon Lik se servait d’un émetteur ultrason à haute fréquence combiné à un fil chauffant. Ce dernier s’enroulait sur lui-même et servait à la vaporisation du liquide situé à l’intérieur d’un réservoir.
Un tel mécanisme se révélait trop onéreux à long terme. Il fallait donc trouver une alternative assez rapidement avant que les vapoteurs ne perdent leur intérêt.
La transition vers une e-cigarette dotée de résistance chauffante
La cigarette électronique fonctionnant grâce à une résistance chauffante fait son apparition en 2009. Son inventeur se nomme David Yunqiang Xu, et sa nouvelle e-cigarette parvient à détrôner l’ancienne version.
La résistance en forme de petit cylindre devient le cœur de cette invention. Une batterie permet alors d’alimenter la résistance servant à vaporiser l’e-liquide. Une légère pression sur un bouton d’allumage permet d’activer l’e-cigarette. Ce sont les cigalikes
Depuis ces premiers modèles qu’on a vu débarquer en France en 2012, plusieurs époques fastes ont vu le jour. Il y a eu les mods mécanique et un nouveau continent s’est créé avec les atomiseurs, comme les dripper, les bottom feeder, les tank atomizer. C’était une période de « bricoleurs de la vape ». Depuis les mods électroniques ou mods élecs ont inondé le marché, puis les pods avec leurs cartouches et maintenant les puffs ! Mon avis sur l’obsolescence du matériel de vape est que la durée d’utilisation estimée décrit une vague dont le point culminant fut paradoxalement cette période de « bricoleurs de la vape ».
Depuis quelques années, ca avait commencé avant l’arrivé des pods et ça s’est amplifié, les modèles de cigarette électronique se simplifie. M’en est témoin le mode « smart » qui autorègle votre puissance de vape en fonction de votre résistance. Aujourd’hui ce sont les puffs qui inondent le marché. ce modèle, jetable n’étant effectivement pas prévu pour durée longtemps.
Les pannes de plus en plus fréquentes sur les e-cigarettes
Les batterie intégrées se sont améliorer, elles supportent maintenant mieux les charges partielles que les charges complète donc nous rencontrons moins de problème de ce côté. Par contre, la durée de vie des batteries vient arrêter net celle des box les contenants. au delà de 300 cycles de recharges, c’est la fin.
300 cycles de recharges signifie que vous pourriez, recharger complètement votre batterie 300 fois après qu’elle se soit vider complètement. Si vous la recharger systématiquement quand vous êtes à la moitié de son autonomie, on pourrait en conclure que la batterie pourrait vous durer donc 600 cycles de recharges à 50%.
La réalité c’est que la qualité des modèles s’est dégradé globalement. J’entend en durabilité seulement. Les modèles actuels offrent une bonne qualité de vape mais ne sont pas fait pour être conservé plus d’un an.
De plus, je rencontre de plus en plus de vapoteurs qui me confient que leur affichage « bug ». Alors que les firmwares sont de plus en plus performants, ils accumulent en parallèle des points de vulnérabilité.
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